
« Il s’agit d’un think tank opérationnel tourné vers l’action et les résultats. L’idée est de faire réfléchir les acteurs de la transition énergétique ensemble pour créer les bons produits financiers permettant de faire aboutir les projets. Les financiers ont besoin de ces échanges avec les autres acteurs. Dans un secteur innovant l’articulation rapide des métiers est cruciale », explique Sylvie Perrin. Soutenue par le ministère de la Transition écologique, l’association a comme ambition d’être « un réseau d’information » plus qu’un réseau de lobbying.
La Plateforme verte se veut force de proposition sur les modèles de la transition énergétique, à commencer par l’autoconsommation et le tiers-financement. « Nous cherchons des moyens en mode équité, pour que les développeurs continuent leur projet tout en gardant leurs fonds propres. La solution viendra sûrement d’un mixte des outils financiers », ajoute Sylvie Perrin.
Dans le cadre de sept groupes de travail thématiques, l’association souhaite également être active sur : le numérique et l’énergie, l’achat et la vente d’électricité (agrégation et effacement), l’efficacité énergétique, l’export, l’agriculture et le solaire, le stockage au sol.